Non, car celle-ci relevait du projet médical et du projet d'établissement. Or, la suppression de certains services, notamment ceux de pédiatrie et de cardiologie à Saint-Germain-en-Laye, s'est toujours heurtée à des refus catégoriques. Il en est résulté des situations dramatiques dont un reportage s'est récemment fait l'écho. Les atermoiements qui ont eu lieu pendant dix ans ont conduit à une situation catastrophique.