La décision de maintenir une maternité sur le site de Saint-Germain-en-Laye a été prise au niveau politique.
De même, tout regroupement des services de cardiologie nous a été interdit. Les patients de Saint-Germain-en-Laye devaient se rendre à Poissy pour subir une angioplastie avant de retourner dans leur commune, au risque d'accidents graves : par exemple, on ne pouvait pas réopérer à Saint-Germain-en-Laye des patients auxquels on avait posé un stent.
Si les charges financières ont augmenté, c'est que nous n'avons pas pu supprimer les doublons et qu'il a fallu multiplier les gardes.
Nous avons confié à une société spécialisée le soin d'identifier un site d'implantation commune, si possible entre Saint-Germain-en-Laye et Poissy. Nous n'avions aucun a priori en la matière. Il n'a pas été possible de trouver un terrain à Saint-Germain-en-Laye. En revanche, il y en avait un disponible dans la commune de Fourqueux, mais il était difficile d'accès et le maire ne souhaitait pas notre installation. À Chambourcy, un terrain nous intéressait, mais nous n'avons pas obtenu de réponse positive de la municipalité.