..je souhaite préciser que, dans le cadre de l'évaluation des cadres de direction à laquelle j'ai fait référence, j'ai été amené à porter à la connaissance de la commission administrative paritaire nationale mon désaccord quant à l'évaluation effectuée à mon encontre par l'actuel directeur général de l'établissement, et à ses conséquences sur la prime de fonction. Le dossier, dont l'examen a été reporté parce que le directeur général ne répondait pas aux demandes du centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière, a été finalement traité le 15 octobre.
Alors que j'étais accusé d'être dans l'incapacité d'évoluer et d'imaginer un suivi de contrôle des dépenses par un directeur des ressources humaines plutôt que par un directeur financier, et, plus généralement, d'avoir commis une faute grave préjudiciable à l'établissement, accusation à l'appui de laquelle des documents étaient fournis, la commission administrative paritaire nationale a émis le 15 octobre 2009, soit il y a à peine trois semaines, un avis unanime – y compris donc des représentants de l'administration et des trois syndicats représentatifs des directeurs – qui me donnait raison. Toutes les accusations portées contre moi n'ont pas été estimées crédibles une seule seconde.