Je serais pour ma part psychologiquement incapable de le supporter. La pression que je subis depuis plus d'un an au centre hospitalier de Poissy-Saint-Germain-en-Laye est telle que j'ai été arrêtée pour dépression et que je resterai psychologiquement atteinte jusqu'à la fin de mes jours. Pourtant je ne suis pas quelqu'un qui se laisse abattre facilement.