Nous sommes en train de remettre de l'ordre. Je dispose aujourd'hui d'un tableau de bord de trésorerie, d'un suivi des effectifs. À mon avis, le déficit caché était de l'ordre de 44 millions d'euros. On est passé à 30 millions, puis à 26 millions. Mais un claquement de doigts ne suffit pas. En 2009, on doit être à 80 % des objectifs. Quand je suis arrivé, j'avais l'impression d'être dans un pays du Sud. Le directeur des ressources humaines de l'époque, M. Michel Louis-Joseph Dogué, m'a expliqué qu'il ne suivait pas ses dépenses de personnel.