L'aggravation complémentaire provient, d'une part, d'une diminution des recettes d'activité au fur et à mesure de la mise en place, sur la période 2004-2008, de la tarification à l'activité (T2A), d'autre part, d'une non-maîtrise de la masse salariale : pour la seule année 2006, il y a eu un accroissement du titre I, c'est-à-dire des dépenses de personnel, de 5 millions d'euros, ce qui correspondait à un glissement-vieillesse-technicité (GVT) complètement hallucinant.