Notre intervention repose sur la signature de contrats de retour à l'équilibre avec les établissements hospitaliers, après un examen commun des secteurs où les efforts doivent porter.
La tarification à l'activité (T2A), fixée au plan national, a défavorisé les hôpitaux franciliens, qui disposaient historiquement de moyens supérieurs à ceux des autres établissements. Malgré une majoration de 7 % des tarifs applicables en Île-de-France, la situation s'est dégradée dans des proportions plus importantes que dans le reste du pays.
Une première génération de contrats a été signée en 2004 par mon prédécesseur, Philippe Ritter, avec environ vingt-cinq établissements. À quelques exceptions près, ces contrats ont été un échec : la plupart des hôpitaux espéraient, avant tout, que la T2A permettrait d'améliorer leurs résultats grâce à une augmentation de leur activité.