Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, dans cette longue discussion générale, je ne reviendrai pas sur les observations longuement développées par Bernard Derosier et les membres du groupe socialiste qui ont montré en quoi votre réforme est aberrante et dangereuse pour nos concitoyens. Elle menace la relation qu'ils avaient établie avec les conseils généraux et les conseils régionaux.
Je souhaite m'intéresser au mode de scrutin et au tableau des effectifs que vous nous avez distribué. La question est peut-être fastidieuse, …