Il ne doit pas y avoir de restriction aux financements croisés, qui représentent tout simplement la solidarité territoriale.
Réfléchissez un instant : s'il n'y avait eu d'apport financier de la région et du conseil général, combien de projets, en qualité de maires, auriez-vous dû abandonner ces dernières années ? Posez-vous la question ! La réponse est évidente, nous avons besoin de ces financements, de ces tours de table financiers. Avec votre gouvernement, il n'y aurait que le monde des affaires qui aurait le droit de se rassembler et d'effectuer ces fameux tours de table. Et les élus, eux, n'auraient plus cette capacité. Cela deviendrait inacceptable !