Vous l'aurez compris, madame Imbert, je vous ai laissé, par courtoisie, commettre une entorse au règlement. Je me vois contraint de le souligner. Cette discussion s'inscrit dans le cadre du temps législatif réglementé ; c'est pourquoi, en termes de temps de parole, je ne vois pas d'inconvénient à ce que l'on s'exprime, à condition que ce soit en son nom propre.
Si, madame Imbert, par courtoisie – j'y insiste –, je vous ai laissé lire l'intervention d'un de vos collègues, vous comprendrez, mes chers collègues, qu'à l'avenir je n'autoriserai pas un tel procédé, ne serait-ce qu'au regard du grand nombre d'orateurs inscrits.