Je vous laisse imaginer ces terres de résistance qu'ont été les territoires campagnards et montagnards, qui sont aujourd'hui des parcs nationaux, où les derniers autochtones ont la chance d'être photographiés au même titre que l'ours et le mulet ! (Sourires.) Je vous laisse imaginer mon bonheur lorsque je ne porte pas de cravate et que l'on vient me photographier parce que je suis un indigène qui vit dans un parc national ! (Rires.)