En effet, il est à craindre que, compte tenu des nouvelles règles de répartition des compétences et de représentativité, certaines collectivités soient réticentes à réaliser des investissements dans des zones reculées.
Avant de conclure, je tiens à préciser que toutes les propositions que je viens d'énoncer sont partagées par une grande majorité des élus de la montagne, toutes tendances politiques confondues. Ils feront notamment l'objet d'amendements défendus par notre collègue Vincent Descoeur.
Je compte sur vous, monsieur le secrétaire d'État, messieurs les rapporteurs, pour faire que ce projet de loi reconnaisse véritablement la spécificité des zones de montagne et permette ainsi de veiller au mieux au développement de ces territoires. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)