On ne peut qu'être accablé : la situation que vous avez décrite paraît très préoccupante.
Votre neutralité vous permet de dialoguer avec les autorités afghanes et pakistanaises, avec les différentes forces militaires en présence et avec l'« administration » talibane. Mais comment envisagez-vous l'évolution de votre statut ? Quid de la sécurité de ceux qui interviennent au nom du CICR ? La barbarie humaine est sans limite, on le voit bien, et elle prend aujourd'hui des formes que l'on n'envisageait pas au XXe siècle.
Pouvez-vous, en outre, nous en dire plus sur votre partenariat avec le Croissant-Rouge ?