Plusieurs orateurs l'ont dit, c'est l'ouverture à la loi du marché, c'est la liberté du renard dans le poulailler. Et dans ce cas de figure, les poules gagnent rarement…
Pour être tout à fait objective, je dois reconnaître, monsieur le secrétaire d'État, que votre texte a évolué, aidé grandement dans cette voie par la mobilisation des élus locaux, toutes opinions politiques confondues, il faut le reconnaître.