Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, avant d'arriver dans cet hémicycle, ce projet de loi a déjà fait couler beaucoup d'encre et de salive. Comment pouvait-il en être autrement avec un texte qui repose largement sur des présupposés fallacieux et dont les objectifs sont essentiellement politiciens et idéologiques ?