Comment ne pas ne pas se demander ce que seraient devenues les infrastructures, et notamment les routes ? Et d'ailleurs la question revient avec le transfert aux départements, il y a deux ans, d'un certain nombre de routes nationales que l'État n'est plus en mesure d'entretenir. N'oublions pas le rail, le train, les TER, et toutes ces demandes de contractualisation, que l'État qui, par votre voix, monsieur le ministre, nous reproche de trop dépenser aujourd'hui, nous demande de cofinancer avec lui.