Je vous disais donc que la décentralisation n'est ni de droite, ni de gauche ; elle est au centre. (Rires.)
Je précise ma pensée : je veux dire qu'elle est au centre de nos préoccupations et de notre engagement. Elle devrait nous rassembler, monsieur le rapporteur, parce que, depuis désormais plusieurs décennies, elle est une tendance structurante de notre histoire politique.