Alors que l'enjeu est de clarifier les compétences, de mieux coordonner les politiques et de refonder la démocratie locale, l'opposition n'a eu de cesse – je l'ai vérifié sur le terrain, en Côte-d'Or, dont je suis président du conseil général – d'inquiéter les élus locaux. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC) en dénonçant une recentralisation et une mise sous tutelle des collectivités locales, en agitant régulièrement, dans toutes les associations de maires, le spectre de communes qui, avec cette réforme, ne seraient plus accompagnées ni aidées par les solidarités régionale et départementale.