Nous étions prévenus : rien n'est jamais acquis – surtout quand il s'agit de parité politique, oserai-je ajouter ! Mais personne n'aurait pu penser que, dix ans après le vote de la loi sur l'égal accès aux fonctions électives, le choix se porterait sur le mode de scrutin le plus hostile à la présence des femmes dans les assemblées élues.