Monsieur le ministre, vous constatez que vous n'êtes pas le seul à être apostrophé. Cela arrive aussi lorsqu'un orateur socialiste se trouve à la tribune.
Il faudra que le Gouvernement cesse d'affirmer haut et fort que les parlementaires ont été à même d'apprécier la globalité de cette réforme, alors qu'il est manifeste que ce n'est pas le cas.
Ainsi, à ce moment de nos travaux, nous ignorons encore le nombre de textes qui composeront la réforme. Y en aura-t-il deux ou trois ? N'y en aura-t-il aucun autre ?