Je m'en réjouis pour les sénateurs mais nous, nous nous l'interdisons. Mes chers collègues, nous devons nous poser la question : pourquoi ? Je ne m'étendrai pas davantage sur ce point, à propos duquel je sais que le président Jacob a pris attache avec le président Cahuzac, mais, si mes renseignements sont bons, sans grand succès jusque-là. Comme c'est un homme tenace, il ne lâchera pas, j'en suis convaincu. Je sais que le président Accoyer s'est lui aussi saisi de cette difficulté. Si elle devait perdurer, cela ferait de fait subir une deminutio capitis à notre assemblée par rapport aux pouvoirs des sénateurs.