Monsieur Laurent Fabius, j'ai écouté votre question, attentif à l'expérience qui est la vôtre – vous êtes devenu Premier ministre voici vingt-six ans, succédant à Pierre Mauroy, qui avait fait voter les premières lois de décentralisation. (« Eh oui ! » sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Je vous le dis avec beaucoup de solennité : les principes de la décentralisation ne sont évidemment pas remis en cause par le Gouvernement et la majorité. (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.)