En pleine crise de manque de capitaux, il n'est pas moral de jouer – parce que c'est bien de cela qu'il s'agit, mesdames, messieurs – à relancer la fuite des capitaux et des cerveaux. Certes, le bouclier fiscal n'est pas parfait. Il n'a pas complètement enrayé l'exode fiscal – plus 14 %.