Cette politique de cession immobilière mérite évidemment inventaire. Je pense à l'affaire de l'Imprimerie nationale, formidable exemple de cadeau fait aux spéculateurs immobiliers. Rappelons-nous que le siège de l'Imprimerie nationale, rue de la Convention, fut vendu en 2003 pour la modique somme de 85 millions d'euros au groupe privé Carlyle ! Ces mêmes locaux ont été rachetés par l'État en 2007 pour la « modique » somme de 376,4 millions d'euros, soit une plus-value de 291,4 millions d'euros pour Carlyle ! Des travaux ont été, certes, réalisés.