Mes chers collègues, voilà bien l'esprit qui anime ce projet et, en dehors même de son texte, de nombreux éléments le prouvent. Ainsi, l'un des plus éminents commis de l'État a eu la maladresse de rêver à voix haute en déclarant à la presse que l'Assemblée nationale devait réformer son règlement. Sur quelle légitimité le secrétaire général de l'Élysée s'appuie-t-il donc pour nous dicter sa volonté ?