J'y arrive, madame la présidente.
S'agissant enfin de la loi SRU, il faut que la solidarité soit collective.
Au-delà de la politique de la ville, ces quartiers sensibles souffrent plus que d'autres de la crise. L'effondrement de l'emploi, la redistribution en faveur des plus riches et non des plus pauvres, tout ceci concourt à marginaliser plus encore ces quartiers. Ce que je vous demande donc, c'est, dans l'année qui vient, de nous rassurer sur les CUCS, sur la DDU, sur l'ANRU. Vous n'êtes peut-être pas en état de le faire aujourd'hui puisque, comme vous l'avez écrit, la décision dépend du Premier ministre et ce n'est pas, apparemment, une priorité absolue du Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)