Nous avions bien noté que c'était l'un des points positifs du PLFSS 2008 voté, en première lecture, par l'Assemblée nationale. Si l'on veut, en effet, que les logiciels d'aide à la prescription soient efficaces, il faut faciliter la vie des médecins et intégrer les prix dans les logiciels. Sinon, ce sera un voeu pieux.