Il existe de petits pôles, comme le Pôle européen de la céramique à Limoges, le pôle Parfums, arômes, senteurs, saveurs à Grasse ou encore le pôle Arve industries dans le domaine du décolletage, dans la vallée de l'Arve. Tous ces petits pôles, soit 70 % de l'ensemble des pôles, ne reçoivent certes que 15 % des aides, mais est-il mauvais d'encourager des acteurs qui souhaitent travailler entre eux et qui font preuve de dynamisme et de permettre ainsi aux parfumeurs de Grasse ou aux décolleteurs de la vallée de l'Arve de conforter leur compétitivité et leur aura internationale ?