On a déjà tenu compte de l'arrivée des molécules onéreuses et de l'impact qu'aurait leur sortie de la réserve hospitalière quand on a renégocié la marge des pharmacies d'officine, il y a quelques années.
Aujourd'hui, nous sommes tributaires du transfert de l'hôpital vers la ville de molécules et de dispositifs médicaux que nous ne délivrions pas auparavant et ces consommations sont comptabilisées dans l'enveloppe ville et non dans l'enveloppe hôpital. Il y aura de plus en plus de molécules onéreuses supportées par l'enveloppe de ville, mais il y a aussi des traitements liés au suivi de l'hospitalisation, en particulier certains pansements, que l'on délivre désormais en ville, tout simplement parce que le malade reste souvent très peu de temps à l'hôpital.