Nous n'avons pas encore atteint ce stade. Il n'est pas sûr que les difficultés soient aussi grandes qu'on l'imagine : dans les rapprochements que nous avons travaillé à favoriser, le règlement des questions de propriété industrielle s'effectue plutôt bien. Notre métier est de fédérer les entreprises et de les aider à monter des dossiers ; à elles de régler les questions qui les concernent seules. Les débuts ont été un peu difficiles entre entreprises et universités, mais les difficultés ont par la suite été aplanies.