De nombreuses adaptations, parfois délicates, ont été nécessaires dans un premier temps. Il a notamment fallu plusieurs mois, en 2006, pour nous entendre sur la répartition des coûts. En matière de restauration par exemple, les frais fixes font désormais l'objet d'une forfaitisation, les dépenses variables d'un coût hommejour. Il me semble que nous ne nous heurtons plus aujourd'hui à des problèmes particuliers.