En raison de ces importantes difficultés, nous n'avions pas prévu de faire plus de quatre ou cinq études par an. Il s'agit d'études de suivi des médicaments, dans leurs conditions réelles de prescription. Elles doivent servir à fonder la réflexion de la commission de la transparence lorsque celle-ci doit réévaluer les médicaments et apprécier le service médical rendu au bout de quelques années de consommation – cinq années, en l'occurrence.