Il vaut mieux que ces actions restent financées par le ministère de la Défense car s'engager dans des discussions interministérielles nous ferait perdre de l'autonomie, de la flexibilité et de la réactivité.
La coopération civilo-militaire a une très grande importance. Certes, on n'y consacre pas assez de moyens, mais les officiers qui s'en occupent réalisent des prouesses, notamment en ayant recours à des financements européens complémentaires. En outre, ces activités, ainsi que l'action des équipes de santé, permettent de renforcer les liens entre nos soldats et les populations locales.
Quant à la formation des cadres, on peut souhaiter qu'elle ait un caractère plus interministériel, mais l'autonomie de gestion a ses avantages.