Ma réflexion précédente est à mettre en relation avec ce que vous avez dit sur la diminution de la préscolarisation des deux-trois ans, d'où la priorité d'accueil de ces jeunes enfants dans les zones d'éducation prioritaires. Se pose donc la question de savoir comment va s'organiser cet accueil des jeunes enfants dans certaines zones difficiles et qui paiera. Car, pour avoir expérimenté, non pas ces jardins d'éveil, mais ces espaces passerelles, nous voyons bien qui paie !