Il serait dommageable d'opposer des solutions à d'autres. Ce qui est proposé, c'est une démarche de complémentarité et de diversité. S'il doit y avoir une régulation, elle se fera de fait. L'important, c'est que les parents qui en ont besoin puissent trouver une solution de garde adaptée à leurs capacités de financement – nous parlons de « solutions de garde » plutôt que de « places de garde ».
Il existe une disparité très forte entre les territoires non seulement en matière d'équipements collectifs mais également pour ce qui est des capacités d'accueil. Dans les zones rurales et les zones urbaines sensibles, il y a pénurie d'assistantes maternelles.
Notre approche n'est pas d'opposer telle solution à telle autre. Elle est très pragmatique.