Le groupe « Écosystème de l'innovation », auquel je participe dans le cadre de la « Stratégie nationale de recherche et d'innovation », a considéré que les pôles constituaient de ce point de vue un moteur, puisqu'ils dynamisent le triangle industrie-recherche-formation.
Par ailleurs, l'Europe se demande comment mettre à profit la dynamique des clusters que l'on voit éclore un peu partout, chacun avec ses spécificités. Elle vient de mettre en place un European cluster policy group où la France sera représentée par l'ancien sénateur Pierre Laffitte, dont vous connaissez l'action à Sophia Antipolis, et moi-même. Nous avons créé un club des 17 pôles mondiaux et à vocation mondiale qui se réunit très régulièrement et qui s'efforce de réfléchir à la façon dont les pôles pourraient s'impliquer encore plus dans la relance. Nous échangeons des informations en matière de « meilleures pratiques ».
À cet égard, l'analyse de la MEC sera intéressante et je serai heureux de la relayer.