Le plafonnement paraît absolument indispensable. On ne peut collectivement qu'y être favorable. Mais permettra-t-il une redistribution suffisante ?
Les jardins d'enfants sont, c'est vrai, des structures formidables. Néanmoins, dans la situation où se trouvent aujourd'hui l'État, les familles et les collectivités territoriales, on ne peut pas faire supporter aux deux tiers par les familles et les collectivités territoriales ce qui l'était par l'école avec l'accueil en école maternelle des enfants de deux ans. Voilà la réponse que l'on peut faire.
J'exprime donc la plus extrême réserve sur toutes les nouvelles structures qui entraîneraient une dépense publique supplémentaire.