Antoine Dubout, président de la Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne, FEHAP :
Absolument. Cependant, le deuxième élément qui nous gouverne, c'est-à-dire nos valeurs, conduit à prendre des décisions qui ne sont pas seulement financières, par exemple le maintien d'activités qui, analytiquement parlant, sont déficitaires.