Cela ne vient-il pas aussi du cloisonnement des professionnels de santé ? Je pense notamment aux médecins, avec la médecine de ville et la médecine hospitalière. Ce cloisonnement n'existe peut-être pas dans les autres pays. Sans compter leur résistance à rendre des comptes sur l'efficacité d'un acte médical. Ne pensez-vous pas que cela participe aux lacunes de l'épidémiologie ?