Une décision d'investissement sur le territoire français ne se limite pas aux considérations fiscales. En ce qui nous concerne, nous travaillons à l'amélioration de la productivité de nos sites qui font de la recherche clinique, mais il est difficile de le faire en France lorsque l'on considère l'image que les médias en donnent : les patients inscrits dans ces études seraient ni plus ni moins que des cobayes. Dans ces conditions, il est difficile d'attirer des investissements.
À cela s'ajoute la rigidité du code du travail, les incertitudes pesant sur les investissements en raison de cycles de planification très longs. Il est très difficile d'adapter notre outil manufacturier sur le territoire français.