Avant la fusion, les deux établissements avaient déjà une direction commune. Quant à la santé financière, elle était probablement moins bonne qu'aujourd'hui. Une chose est sûre : si les deux établissements étaient restés séparés, ils n'auraient pas survécu à la tarification à l'activité (T2A), car ils n'avaient pas la taille critique suffisante. La fusion a permis de mutualiser une grande partie des services et d'acquérir un environnement nécessaire à la politique de qualité, notamment pour le système d'information, qui est un enjeu majeur pour les établissements.