Commençons par identifier les éléments qui nous permettront d'économiser de la ressource collective pour l'affecter au juste usage et demandons-nous si le bouclier sanitaire favorisera ou pas ce bon usage.
En tant qu'industriels, nous constatons depuis trois ans des dérives potentielles dans les usages des biens et services de santé. La généralisation de la dispense d'avance de frais, qui contribue vraisemblablement à une dérive des coûts de santé, et la non révision des protocoles pour une population représentant un Français sur cinq sont des éléments qui méritent d'être considérés.