Monsieur Caresche, la réponse de l'Europe, il y a une dizaine de jours, sous l'impulsion des chefs d'État et de gouvernement, a été déterminée, massive, et a marqué la volonté sans faille de la zone euro de soutenir notre outil monétaire, mais aussi notre capacité d'assurer le développement des particuliers et des entreprises, le développement de l'économie, des investissements et donc, à terme, notre capacité à garantir la création d'emplois.
Les gouvernements s'organisent aujourd'hui pour que les pays adoptent une logique de convergence qui leur faisait hélas défaut. Il s'agit de définir la meilleure trajectoire pour y parvenir.