La progression du travail à temps partiel est venue annuler les effets de la hausse du taux d'activité féminine. Le COR a consacré, en 2008, son sixième rapport aux droits familiaux et conjugaux en matière de retraite. Il y figure une analyse qui montre à la fois l'évolution de l'activité féminine, celle du taux d'emploi moyen et celle du taux en équivalent temps plein (ETP). Si l'activité féminine progresse régulièrement, celle du taux d'ETP stagne à partir de la génération 1955. La progression de l'activité féminine est alors contrariée par le chômage et le temps partiel.