Je fais partie de ceux qui partagent vos convictions, mais les climato-sceptiques sont encore nombreux. Peut-on encore sérieusement discuter la réalité du réchauffement ? Aux États-Unis, qui sont l'un des plus mauvais élèves de la classe mondiale, la prise de conscience permettra-t-elle une évolution rapide des modes de consommation ? Compte tenu de l'ampleur du problème, des mesures ponctuelles suffiront-elles ou faut-il révolutionner notre mode de développement ?