Un des avantages du régime catastrophe naturelle est qu'il ne définit pas de façon limitative les catastrophes qu'il couvre. Ainsi, à la différence d'autres risques, l'état de catastrophe naturelle est déterminé par un arrêté concernant une ou plusieurs communes pris sur le conseil d'un comité interministériel auquel nos sociétés sont parties mais en tant que secrétaire sans voix.
Dans le cas du volcan Eyjafjöll, les événements se sont déroulés en dehors du territoire national et la CCR, en l'absence de tout contrat, n'est en rien concernée. En revanche notre dispositif a montré sa souplesse en prenant en compte les phénomènes de subsidence, liés à la sécheresse, depuis 1989.