Le régime des catastrophes naturelles permet une mutualisation des risques pour l'ensemble de la population ; il s'agit d'un système très protecteur qui fonctionne bien. On pourrait imaginer un système plus libéral. A ce propos, la Fédération a constaté pour la première fois que les assurés avaient compris que le coût élevé de la tempête pouvait avoir une répercussion sur leur prime d'assurance ; certains ont indiqué sur des blogs qu'ils n'étaient pas prêts à payer un surcoût pour ceux qui prennent des risques en s'installant dans des zones dangereuses, ce qui montre les limites de la mutualisation : celle-ci est légitime tant que les risques pris ne sont pas excessifs.