, s'est inquiété des trop lentes avancées dans ce domaine, malgré la démarche entreprise, l'an dernier, à pareille époque, auprès du ministre chargé de la santé, par l'Office parlementaire. Le besoin d'effectif supplémentaire avait alors été évalué à environ 340 physiciens d'ici à 2012.
Dans le même courrier, l'Office parlementaire avait avancé la nécessité de prendre des mesures provisoires qui permettent au moins d'apporter rapidement plus de garanties pour le malade et les personnels. Elles devaient consister en une collaboration régionale entre les centres, et la prescription de doses reçues par les patients définie de façon séquencée, plus fréquente et plus précise.
Après avoir constaté qu'un an plus tard, la carence en radiophysiciens perdure, M. Jean-Claude Etienne s'est interrogé sur la mise en oeuvre de ces mesures provisoires.