, a précisé qu'en l'occurrence, le critère concernait l'obligation de disposer de deux accélérateurs, deux radiothérapeutes et deux physiciens. Or avec deux physiciens, on ne peut pas couvrir une période de traitement allant de 7 heures du matin à 22 ou 23 heures le soir, si l'on tient compte des congés, des formations, des recettes à faire sur une nouvelle machine ; la recette d'un nouvel accélérateur de physique médical mobilise un physicien à plein temps pendant un mois. Les centres risquent de se retrouver avec des machines formidables, sans personne pour vraiment s'en occuper avant qu'elles ne soient utilisées avec les patients.