Je vais conclure cette explication de vote en revenant sur une observation que nous avions formulée lors de l'ouverture de nos débats mardi dernier. Nous avions en effet constaté le risque d'un divorce grandissant entre, d'une part, des mesures environnementales perçues comme émanant d'une vision très urbaine de notre société et, d'autre part, les préoccupations et les attentes de tous ceux qui habitent le monde rural, à commencer par les agriculteurs.
Ce risque devait être combattu avec force, car la logique du Grenelle est une logique de rassemblement et non de confrontation et d'exclusion.